Un film sur les parloirs ne peut être, au fond, qu’un film qui parle autant de proximité que de distance, autant d’hier que de demain. Un film capable de dire que l’avenir du détenu n’est envisageable que si perdure un lien tissé avec son passé. Ce film souhaite mettre en lumière le paradoxe de l’enfermement.

A l’intérieur, on évoque surtout l’extérieur, celui d’avant ou celui d’après, ce que l’on a fait et surtout ce que l’on fera avec la liberté retrouvée. De l’extérieur, on vient abandonner au parloir une partie de soi qui y reste même lorsque l’on quitte les lieux.

Une production : CFRT/Ladybirds films

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